Je fais ça très rarement mais de temps en temps j’ai besoin d’écrire un billet que je classe dans la rubrique « Coup de coeur/Coup de gueule » pour parler de choses qui me tiennent à coeur. Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler écologie et plus particulièrement des abeilles et du danger que représente leur disparition.
Ce matin mon amie Naïma est venue vers moi pour partager une belle initiative. Elle avait à cœur de relayer cette info pour sensibiliser chacun d’entre nous sur le fait que l’on pouvait d’une manière très simple, à son échelle, contribuer à la sauvegarde des abeilles en ville…
Fleurissons nos jardins, balcons, terrasses ou rebords de fenêtres
Toutes et tous, fleurissons nos jardins, balcons, terrasses ou rebords de fenêtres. Parce qu’une petite action individuelle ajoutée à plein de petites actions individuelles ça peut faire beaucoup ! Pour les plus engagés ou téméraires (ou les deux à la fois !) vous pouvez aussi parrainer des ruches ou mêmes en installer chez vous !
Nous avons décidé d’unir nos mots pour lancer ce (petit) cri d’alerte. Je ne sais pas si vous serez nombreux à lire ce billet et à fleurir la ville ou encore (pourquoi pas…) à cliquer sur le lien pour découvrir l’association « Le temps des abeilles« , mais je me dis toujours que pour une seule personne touchée ça vaut toujours le coup d’essayer.
Voici les mots de Naïma. Parce qu’elle sait toujours si bien dire les choses.
Be happy, le printemps est arrivé… avec lui, les manches courtes, les p’tites robes, les couleurs vives… et les abeilles !
Bee api, pensez à fleurir vos terrasses, jardins, balcons ou appuis de fenêtre… en plus, c’est joli et ça sent bon !On peut aussi participer à la sauvegarde de nos abeilles en parrainant une ruche, ou encore, en prenant exemple sur Miss Acacia qui remplace le sucre de son café ou de son thé avec du miel ça paraît bête comme chou mais si la consommation diminue, les apiculteurs aussi, et donc, les abeilles…
http://www.letempsdesabeilles.com
Qui miel me suive… passez le pot !
Mes mots seront beaucoup plus sérieux. Désolée.
Einstein lui-même disait : « Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. ». En lisant ça, on se dit qu’il y va un peu fort ce bon Einstein. Mais sa sentence est-elle si excessive que ça ?
Les abeilles constituent un maillon essentiel pour l’équilibre des écosystèmes
Indispensable à la pollinisation des fleurs, les abeilles constituent un maillon essentiel de la chaîne qui contribue à maintenir l’équilibre des écosystèmes. Elles jouent un rôle primordial dans les diverses phases de la vie de nombreuses espèces végétales et animales. Si les abeilles disparaissaient, des multitudes de plantes ne pourraient plus se reproduire et s’éteindraient. Leur absence engendrerait la perte de nombreuses espèces animales dont l’homme se nourrit.
Malheureusement, depuis de nombreuses années, au nom de l’agriculture intensive et du rendement, les Hommes utilisent toujours plus de pesticides. Or nos petites abeilles butinent les fleurs sur lesquelles se sont déposés ces produits. Et elles meurent… par milliers.
Heureusement, la Commission européenne a commencé à prendre des mesures en interdisant 3 de ces pesticides. Mais n’est-il pas trop tard ? En effet les produits mortels ont infecté les nappes phréatiques, les cours d’eau, les mers… Allez je reste optimiste et je me dis que non, il n’est jamais trop tard !
Sa survie dépend de nous et de nos actions. Alors n’hésitez pas allez voir le site http://www.letempsdesabeilles.com et passez à l’action ! Et comme je le disais dans le titre : Bee happy !
Comme le partage est vraiment quelque chose qui me tient à coeur, je vous propose un petit jeu. Pour celles et ceux qui liront ce billet jusqu’au bout, j’aimerais beaucoup que vous veniez poster une photo de votre jardin/balcon/rebord de fenêtre… sur ma page Les Petits Billets de Miss Acacia.
Ca serait drôlement chouette ! Je vous attend.
Je termine sur une note musicale. Qui mieux que HK et les saltimbanques pouvaient avoir le mot de la fin ?! Allez « Niquons la planète« …