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Tribunes Urbaines : Chrixcel décode les Murs de la revendication

Article Tribunes urbaines de Chrixcel

Vous savez ce qu’on dit : « Si les murs pouvaient parler… » Eh bien, dans le monde de l’art urbain, ils le font. Des villes en ébullition aux ruelles silencieuses, les artistes urbains s’arment de bombes de peinture et de collages pour donner voix aux sans-voix.

Quand les murs parlent, le monde écoute

De l’urgence climatique à la crise des migrants en passant par les inégalités sociales, les artistes urbains ou « artivistes » ne reculent devant aucun sujet. Ils redéfinissent le paysage urbain avec des œuvres captivantes, devenant les mégaphones silencieux de notre époque.

Des artistes, comme RERO, Mahn Kloix, Nevercrew, Petite Poissonne ou encore Suriani, ont déjà marqué de leur empreinte la scène artistique, tandis que d’autres préfèrent l’anonymat pour éviter d’éventuelles répercussions. Que ces artistes restent dans l’ombre ou s’exposent au grand jour, leur engagement créatif est inébranlable.

« La peinture est un art, et l’art dans son ensemble n’est pas une création sans but qui s’écoule dans le vide. C’est une puissance dont le but doit être de développer et d’améliorer l’âme humaine. » – WASSILY KANDINSKY

Les murs, écho des revendications silencieuses

Chrixcel, qui s’intéresse à l’art urbain depuis 2007, nous offre une perspective unique à travers son ouvrage « Tribunes Urbaines – Les murs de la revendication« .

Cette chronique de l’actualité depuis 2016 nous rappelle que l’art urbain n’est pas seulement un embellissement de nos rues, mais bien une forme de discours social puissant. Et ces murs, ils nous parlent. Ils nous parlent des luttes et des aspirations de ceux qui n’ont pas toujours une plateforme pour s’exprimer.

Ainsi, plutôt que de servir de simples barrières, les murs deviennent des liens qui unissent les communautés. Ils nous rappellent que les véritables œuvres d’art ne sont pas enfermées dans les musées, mais sont là, sur le béton, à la portée de tous.

Alors, la prochaine fois que vous passez devant un graffiti ou un collage, prenez un instant pour écouter ce que les murs ont à dire. Qui sait, ils pourraient bien raconter votre propre histoire.

Pour la conclusion musicale, j’ai choisi un artiste aux textes engagés, Damien Saez.

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Ancienne parisienne devenue lyonnaise… pas très bavarde voire même un peu « sauvage » et surtout passionnée de street art. Flâneuse urbaine, j’aime partager mes plus belles découvertes avec vous !

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